Méditation en plein nature : prise de conscience

Je m’appelle Alexandre, je suis né en l’an 1986. Voici plus de trente ans que je participe à vos côtés à la grande aventure humaine.

J’ai passé mon enfance en Dordogne jusqu’à obtenir mon Baccalauréat, avant de poursuivre mes études en informatique à l’université de Bordeaux puis découvrir la vie citadine en Île de France. Pendant près de 15 ans, j’ai donc évolué en région parisienne, oscillant régulièrement pour mon travail entre Paris et la région du Val-de-Marne. En 2021, j’ai décidé d’effectuer un “retour au vert” en rejoignant la province. Mon nouveau QG s’établit désormais à Albi, en région Occitanie.

Une envie profonde d’aider

Mon activité professionnelle ? Le SEO (ou référencement naturel). Autrement dit : j’aide les entreprises à développer leur visibilité sur Internet. Oui vous avez bien lu : « j’aide ». C’est précisément ce que j’aime faire et qui donne un sens à ma vie. Aider celui qui ne sait pas et à envie d’apprendre. Aider à débloquer une situation difficile ou qui semble à première vue inextricable. Si je vous parle de mon métier et que j’insiste sur mes motivations en préambule, c’est parce que ma démarche sur la question de l’écologie se place fondamentalement dans ce registre : aider à comprendre en partageant un savoir compilé au fil de mon vécu et de mes recherches.

Une prise de conscience sur la vie

Avec le blog Écologie consciente et mon projet La Part Consciente, je souhaite apporter ma contribution en faisant entendre ma voix de citoyen. Un citoyen réveillé. A travers mon témoignage, j’ai au fond de moi cet espoir de vous aider à prendre conscience de l’importance des priorités de notre temps et de nos décisions quotidiennes lourdes de sens et de conséquences pour notre avenir. Car c’est bien de l’avenir de notre civilisation humaine dont il s’agit (ce n’est pas une blague). J’ajoute que je vous présente ce regard en toute humilité. Je ne prétends détenir ni vérité ni savoir absolus. Ce que vous lirez ici n’est que le résultat de ce que j’ai appris au cours de mon existence en questionnant, fouillant, cherchant, bref : en vivant. (et ce n’est pas figé dans le marbre car on apprend toute sa vie !)

Qui suis-je ? Un “grand” enfant secoué par trente années de vacarme vie intense au cœur de l’humanité, qui a ressenti beaucoup mais reste persuadé qu’une existence entière est loin d’être suffisante pour expérimenter ne serait-ce que l’embryon du champ des possibles.

J’aimerais que vous considériez ce blog comme un cri d’alerte doublé d’un cri du cœur. Le fruit d’une envie profonde de partager mon témoignage de vie et d’apporter ma pierre à l’édifice du questionnement collectif, transcendant les générations (je l’espère) sur des problématiques de notre ère. Au fil du temps, je compléterai les pages de ce blog et j’en ajouterai de nouvelles pour vous faire partager mon expérience et mes réflexions sur l’urgence écologique, ses rouages et ses conséquences.

Comprendre le monde présent pour influencer l’avenir

J’en viens aux thèmes principaux développés à ce stade de mes recherches sur ce blog : l’urgence écologique, l’exploitation animale et la consommation de viande. Des axes majeurs au cœur de ma prise de conscience que je vais ici développer. Je vous proposerai aussi des idées de solutions que nous pouvons mettre en œuvre par un changement qui peut parfois sembler « radical » dans nos comportements (mais toutefois nécessaire). Changement qui, pour être efficace, ne peut être imposé de l’extérieur ni précéder une prise de conscience au risque d’être perçu comme un frein à notre liberté individuelle. L’idée de ce blog étant d’aider à la prise de conscience qui a peut-être déjà débuté en vous. Les graines du changement ne demandent qu’à pousser. Enfin, je vous parlerai de notre pouvoir de consommateur et ferai un état des lieux du débat public sur l’écologie sans oublier de vous présenter la collapsologie ou étude de l’effondrement de notre civilisation, une approche dont on entend parler de plus en plus et qui propose de construire de nouveaux imaginaires pour demain. Enfin pour nourrir vos réflexions, je vous invite à découvrir quelques chiffres sur l’écologie sourcés et vérifiables et ma FAQ de l’écologie. J’espère que l’aventure vous plaira.

Je sais que je me répète un peu (vous ne m’en tiendrez pas rigueur j’en suis sûr) mais je souhaite que ce soit affirmé clairement pour éviter toute mauvaise interprétation de ce blog : en partageant mes bribes d’idées avec vous, je n’essaie pas de propager une vision définitive sur les questions du bien-être animal et de l’écologie (je suis un humain faillible et incomplet en savoir) mais proposer mon point de vue qui, je l’espère (décidément voilà beaucoup d’espoir !) contribuera à éclairer votre cheminement personnel.

Une goutte d’eau dans l’océan du questionnement écologique ?

Je profite de ce préambule pour annihiler toute tentation de considérer mon positionnement comme dogmatique ou l’expression d’une quelconque idéologie écologique. En d’autres termes une forme de « propagande » de ce qui – selon certains dires – ressemblerait à une « religion verte »… Tous les éléments que je vous rapporte ici sont vérifiables et sourcés. Mon raisonnement est basé sur des faits, aucune croyance. Tout ce que vous lirez sur ce blog est à considérer comme le fruit d’une réflexion personnelle ayant mûrie au fil des ans dans mon petit cerveau d’homo sapiens. Rien de plus, rien de moins. Le résultat de recherches accompagnées d’émotions et de sensations vécues parfois jusque dans mes tripes. En somme : une immersion la plus brute possible dans le regard d’un trentenaire qui cogite sur son temps, qui ne se satisfait pas de l’information qu’on lui sert à travers les médias mainstream et souhaite s’affranchir de toute forme de pensée dominante. Joli programme !

Si je précise tout cela, c’est qu’il n’est pas impossible que certains parmi vous se sentent malgré tout heurtés ou dérangés par quelques-uns de mes propos. Si tel était le cas, je m’en excuse par avance. Car bien évidemment je ne souhaite blesser personne même s’il est évident que mes propos ne feront pas l’unanimité. Je souhaite simplement, vous l’aurez compris, donner un peu plus de « grain à moudre » à votre curiosité. Libre à vous de retenir ce que vous voulez de ce témoignage, et pourquoi pas apporter en réponse une idée, une contradiction, une vision alternative ou plus complète de votre vérité.

Plusieurs gouttes d’eau peuvent-elles former un océan ?

Je termine cette introduction en vous souhaitant un chemin de vie le plus épanouissant possible. Et qui sait ? Peut-être la rencontre de nos regards sur le monde n’est pas seulement en ce jour que l’expression d’un heureux hasard ? Pour ma part, j’y vois une preuve évidente d’ouverture d’esprit doublée d’un besoin profond de comprendre le monde. Je me trompe ? Alors, explorons-le ensemble !

Amicalement,

Alexandre Poulet.

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5 commentaires
  1. Très belle introduction, claire, construite et bien écrite.

    J’ai hâte de lire tes différentes réflexions ! Nos avis se recoupent sur plusieurs sujets, mais il m’arrive en te lisant sur Twitter de considérer les problèmes sous un autre angle.

    @ bientôt quelque part cher homos sapiens conscientia !

    Chris

    1. Merci Chris ! La multiplicité des angles ne me dérange pas, au contraire ! N’hésites pas à réagir pour exposer ton point de vue, je serai heureux d’en discuter avec toi 🙂

  2. Chaque goutte participe de l’océan ! Votre implication fait chaud au cœur.
    Bravo pour votre travail et votre engagement envers les animaux et la planète !

  3. En fait le monde actuel ne fonctionne pas les gouttes d’eau, mais sur milliers de milliards de dollars, et en fait nos gouttes d’eau sont asséchées par une finance qui pèse 200-300 fois plus que l’économie réelle.
    Notre impact écologique doit réduit de 80%, ce qui fait plus que quelques gouttes d’eau.
    Le ralentissement de l’économie doit être gérer si on ne veut pas augmenter la pauvreté, or les gouvernements (toujours aux ordres de la finance) ne font rien, et même le contraire (la 5G passe avant la transition écologique). Il faut réveiller les gens pour qu’ils bousculent les gouvernements.

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